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Ateliers pratiques SEO – Débuter l’optimisation de son site web

Dernière mise à jour : 21/03/2019.

Envie de faire faire une cure de vitamines à votre site web pour le rendre enfin visible sur Google ? Découvrez mes ateliers SEO pour mettre en pratique les fondamentaux du référencement naturel et optimiser vos pages.

Ces formations inter-entreprises d’une 1/2  journée sont orientées vers une cible de néophytes ou d’autodidactes. Découvrez le programme, les objectifs de la formation, et les infos pratiques sur https://worldwiseweb.fr/atelier-pratique-seo-lyon.

Contactez-moi pour connaître les prochaines dates ou établir un programme de formation sur-mesure.

Extraits du tutoriel vidéo « Le marketing digital pour les managers »

« Le marketing digital pour les managers » est un tutoriel vidéo que j’ai réalisé fin 2015. Cette formation s’adresse à des décideurs, dirigeants, chefs de projet, chargés de produits, responsables communication… Bref tout un panel de néophytes en web-marketing qui ont envie ou besoin de monter en compétences. Parler le jargon métier, comprendre les tenants et aboutissants du marketing digital pour décider quels leviers activer pour son projet et ses objectifs.

Cette formation vise à offrir une vue d’ensemble des concepts et leviers (pas de pré-requis) du web-marketing. Elle permet une première montée en compétence qui pourra être approfondie sur les leviers les plus utiles à l’apprenant.

Les 51 leçons vidéos qui séquencent le tutoriel représentent 4h de formation. Ce tutoriel est édité et vendu en téléchargement sur le site elephorm.com. 3 vidéos y sont gratuitement disponibles.

3 tutoriels vidéos « bonus » sur ma chaîne YouTube

Consultez sur ma chaîne YouTube uniquement ces 3 tutoriels bonus, extraits de la formation.

Combiner les leviers d’acquisition de trafic pour sa stratégie de marketing digital

Quelques bonnes pratiques s’imposent pour piloter un projet de web-marketing de manière pérenne. Quelques garde-fous également, pour éviter les déconvenues…


Marketing de contenu / Content marketing

Les contenus : le nerf de la guerre que se livrent les sites qui entendent se maintenir en bonne place dans les résultats des moteurs de recherche… Quels sont les bonnes pratiques pour débuter ? Veillez à rédiger pour une audience ciblée en vous posant les bonnes questions. Pourquoi ne pas entrer dans une démarche de « story telling » ? Quoi qu’il en soit, adoptez les principes de la rédaction pour le web…


Incitations à l’action / Calls to action

Comprenez ici la démarche qui va amener l’internaute à réaliser l’action que vous attendez de lui : conversions en e-commerce, consultation de pages stratégiques, mais aussi de nombreux autres micro-objectifs…

Découvrez aussi le « teaser » de la formation

Je vous présente la démarche et les objectifs du tutoriel :

Extraits choisis du support de formation sur SlideShare

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Tu me resserviras bien un verre d’utilité ? Un double (BlendWebMix 2015)

Vous n’avez pu vous rendre au BlendWebMix 2015 cette année ? Cette 3e édition, qui entend réunir les grandes familles du web dans une optique de décloisonnement des spécialités, s’est tenue les 28 et 29 octobre au Centre des Congrès de Lyon. Je résume dans ce billet quelques points clés de conférences que j’aimerais partager avec vous. Pour moi, les 3 mots clés pivots des conférences que j’ai sélectionnées cette année :

  • l’utilité (en conception produit, en design d’interfaces, en SEO) pour améliorer l’expérience utilisateur ou lecteur
  • la sérendipité (et les risques qu’elle encoure avec un certain nombre de « filtres »)
  • l’approche par persona (qui permet scénariser la navigation et cerner le besoin)

Lecteur, lisez ce qui suit si : 1er/ les mots clés ci-dessus vous interpellent, 2e/ le SEO est déjà votre tasse de thé (je rentre dans le sujet sans trop de préambules). Sinon, quelques autres compte-rendus, à la fin de ce billet…

Pas de recettes toutes faites. Mais des ingrédients incontournables dans le shaker

S’appuyant sur des exemples de sites ou d’applications existants, les conférenciers nous ont rappelé comment limiter les principales erreurs en conception. Leurs pointes d’humour ne faisant pas oublier combien ces erreurs peuvent coûter cher à leurs responsables. En substance, un rappel de bonnes pratiques saupoudrées de pragmatisme :

  • Enlever les kilos superflus d’un site desktop pour une version smartphone qui va à l’essentiel. Veiller donc à alléger (par exemple sur une page d’accueil en limitant le nombre d’entrées). Bref, arrêter de vouloir tout mettre, en faisant preuve d’un peu d’empathie pour son audience.
  • Contextualiser le message ou l’information (pour une meilleure compréhension).
  • Cesser de placer l’utilisateur dans une impasse, notamment en termes de message d’erreur en cas de dysfonctionnement du site ou de l’application.
  • Le support mobile est hyper-sensible aux défauts d’architecture de l’information.  Ce qui implique de réduire la profondeur de l’arborescence aux usages clés, mais aussi la perception de cette arborescence.
  • L’onboarding (i.e. tutoriel de prise en main) n’est à proposer qu’en contexte d’utilisation, en veillant à sélectionner les informations réellement utiles.
  • Comment choisir entre menus visibles ou cachés sur un site mobile ?
    • Il sera conseillé de privilégier le 1er dans ces conditions : si son pouvoir suggestif est important, s’il présente peu d’items, si vous en avez la place (!), et s’il y a de fréquents changements de rubrique par l’utilisateur.
    • Le menu reste en revanche caché : s’il ne présente rien de stratégique, si l’écran par défaut présente déjà la majorité des usages, si l’utilisateur sait – ou saura instinctivement – comment agir, et si l’étape sera inéluctablement rencontrée dans sa navigation.
  • Proposer des contenus ou produits complémentaires cohérents par rapport à l’expérience vécue.
  • Cesser d’harceler l’internaute à sa 1ère visite par de multiples publicités ou sollicitations (newsletter, réseaux sociaux). A cet égard, c’est se tirer une balle dans le pied que d’ignorer l’usage croissant de Adblock Plus et consorts…
  • Penser aux outils d’aide au choix qui apportent un service à l’internaute, et l’aident à répondre à son besoin (plutôt qu’à valoriser des centaines de produits parmi lesquels il ne sait choisir).
  • Lors de tests utilisateurs, veiller à :
    • orienter le testeur sur le besoin (sans indices ni lapsus qui feraient deviner la tâche attendue),
    • le rassurer (c’est bien le produit qui est évalué, pas lui),
    • le faire parler à voix haute (surtout s’il bute sur le scénario prévu),
    • et bien capter tout ce langage non-verbal qui en dit long sur son ressenti réel et ses difficultés.
  • Avec le recueil des données issues de ces tests, le challenge est alors de prioriser, entre obstacles contournables et réellement paralysants.

Les conférences sur lesquelles je me suis appuyée pour cette synthèse : « Comment concevoir la navigation sur mobile ? » animée par Amélie Boucher, « Conception produit : éviter le #FAIL en 5 leçons » animée par Virginie Clève (ses slides) et « Cheap User Testing », animée par Florence Chabanois.

Sites de presse ou éditoriaux. De l’infusion… au Pisco

Parmi les challenges à relever pour améliorer l’expérience de lecture de l’internaute, figure en bonne place la question d’une meilleure mise en contexte de l’information. L’utilisation d’annotations – remplaçant les si nombreux hyperliens – permet au lecteur à rester dans l’espace de l’article. Si l’on pousse cette démarche à l’extrême, un contenu largement privé de liens interroge le référenceur sur le mode de découverte des articles par les moteurs. Et pose la question de l’optimisation et de la diversification des pages d’entrées. Moins de maillage interne ? Potentiellement moins de pages indexées ? A ces interrogations, il appartiendrait aux algorithmes assoiffés de se remettre en cause… plutôt qu’aux éditeurs et référenceurs de sites à se plier au mode de crawl des bots… Par ailleurs, un maillage d’hyperliens bien dosé permet le papillonnage de contenus qui ne faisaient initialement pas partie de l’intention de recherche du lecteur. Au-delà des recommandations et autres filtres par centres d’intérêt, quid alors de la sérendipité dans un article à sec de liens.

La participation des lecteurs devrait aussi être repensée pour valoriser davantage leurs commentaires  (ex. d’affichage en volet latéral du NYT ou de Libé vs. ces commentaires perdus au énième scroll en fin d’article). Et pourquoi ne pas aller plus loin en permettant de commenter uniquement des portions de contenus, en infobulles contextualisées par exemple.

Approche conventionnelle de la structuration des articles, la présentation chronologique est présentée comme une hérésie. Un regroupement thématique peut au contraire donner une profondeur temporelle à une information. Elle peut lui redonner du sens, entre résurgence d’une tendance de fond et réelle nouveauté. Et ce indépendamment de sa criticité à l’instant de sa survenue. Une approche prometteuse mais qui n’irait pas sans dommages collatéraux pour la plupart des pages d’accueil des sites de presse.

Chez bon nombre de titres de presse, le vœu de réconcilier rédactions print & web semble encore bien pieu. A l’aube de 2016 subsiste un profond décalage entre stratégies des rédactions et usages de « consommation » d’information, notamment par les digital natives… En termes d’expérience de navigation, la proportion croissante d’entrées via des pages profondes (i.e. articles) invite non seulement à déstructurer les pages d’accueil, mais aussi à repenser les articles pour favoriser à la fois la sérendipité (mise à mal par les algorithmes qui affirment nous concentrer sur ce qui nous « intéresse »), et aider à prolonger nos lectures.

Quelles sont alors les conditions de survie du « 4e pouvoir » dans cet environnement en permanente mutation ?

  • Pour réinventer son métier, le journaliste se doit d’être numériquement plus agile.
  • Il ne peut non plus faire l’impasse sur l’acquisition d’une culture R&D.
  • Il doit aussi entrer dans une logique de partage (sur les réseaux sociaux).
  • Il ne peut ignorer l’explosion de la consultation sur supports mobiles.
  • Il se aussi doit d’inventer de nouveaux modes de narration. A l’opposé des « canada dry » de l’information, un journal brésilien (Globo) parvient par exemple à des résultats de consultation  – une moyenne de 1h15 de lecture / jour ! – à contre-courant de la tendance générale.
  • Quand à la personnalisation de l’information, c’est une demande dont s’emparer, plutôt que de la subir : d’autres modèles sont à imaginer…

Je termine cette mise en perspective sur les usages et les données par une approche du sociologue D. Cardon sur les algorithmes du web. Avec 2 chiffres qui donnent le tournis : 95% de l’audience consulte… quelque 0,03% des contenus existants. Le conférencier nous invite alors, dans la toute jeune histoire du web, à une analyse de la place des données. Et surtout des indicateurs pris en compte par les calculateurs. Elle nous fait entrer dans une autre approche des notions de popularité, d’autorité, de réputation et de « prédictivité » (ou de prédictibilité ?). Malmenées, ces 3 premières notions font d’ailleurs couramment boire la tasse aux sites dans les SERPs…

Les conférences sur lesquelles je me suis appuyée pour cette synthèse : « Médias en ligne, les nouveaux enrichissements éditoriaux », animée par Pierre Leibovici, « Quelle information journalistique numérique ? » animée par Arnaud Mercier, « L’analyse sociologique des algorithmes du Web : pour quoi faire ? », animée par Dominique Cardon (regarder sa conférence : elle commence à 04:30:00)

Le cocktail du référenceur

Après un rappel des 10 commandements du référenceur, Laurent Bourrelly évoque un cocktail à 80/20 : 80% de respect des fondamentaux, et 20% de growth hacking vous évitera les boissons aseptisées. Sortir des sentiers battus devrait donc être le leitmotiv du référenceur bien inspiré. Les personas sont à nouveau mentionnés comme un outil efficace jusqu’à plus soif pour identifier des pistes d’optimisation en se focalisant sur les bénéfices proposés et sur l’amélioration de l’expérience utilisateur.

Pour finir, parler en optimisation SEO de contenu intéressant plutôt que de qualité nous remet les yeux en face des trous : les moteurs ne font qu’interpréter. Parler d’un niveau de compréhension des contenus serait un autre débat.

La conférence sur laquelle je me suis appuyée pour cette synthèse : « Comment dominer Google en 10 étapes ! » animée par Laurent Bourrelly

Soif étanchée

Au global, bon nombre de conférenciers arrivent à condenser infos pratiques, illustrées, voire prise de recul sur nos métiers. Plus que jamais, offrez à vos utilisateurs l’ivresse d’une navigation débordante d’utilité : veillez, à tous les niveaux, à vous projeter sur le bénéfice qu’ils peuvent en retirer. Restez « user-centric », notamment par une approche par persona qui peut leur éviter de boire la tasse… Au-delà de l’étape de conception, je constate la puissance de cet outil dans une démarche SEO, de création de contenus et/ou web-marketing plus globale. Et pour vous, qu’en est-il ?

D’autres comptes-rendus :

Compte-rendu de la soirée conférence/networking sur les méthodes avancées de référencement naturel

Proposez un site avant tout conçu pour répondre aux attentes des internautes, sachez vous distinguer, pensez aux critères « offsite », et à déporter la visibilité de votre message pour marquer les esprits… Voici, dans les grandes lignes, les arguments développés par le référenceur Kévin Richard jeudi 02/02/2012.

→ Evénement organisé et article initialement rédigé le 08 février 2012
par Sandrine
pour l’association Chambé-Carnet

B.A. BA & pragmatisme

Quelque 70 curieux s’étaient déplacés pour cette soirée en 2 parties : conférence sur les méthodes avancées de référencement naturel, puis networking autour d’un buffet.
Après un rappel des fondamentaux du référencement naturel, Kévin s’est montré très pragmatique dans son approche du référencement. « Learning by doing » doit devenir le leitmotiv de tout web-marketeur curieux. On observe par exemple que Google peut analyser de plus en plus finement  le comportement des internautes pour affiner les résultats affichés. Au web-marketeur donc de chercher à adapter son site pour que la navigation des visiteurs soit un atout pour son référencement. Kévin a insisté sur les bonnes pratiques qui peuvent assurer le succès d’une stratégie SEO :

  • partir d’un socle solide : architecture et critères techniques optimisés pour les moteurs,
  • construire des contenus à valeur ajoutée pour l’audience visée, idéalement non dupliqués
  • travailler la popularité du site en cherchant à attirer les « votes » (ou hyperliens) vers votre site

Stratégie de backlinks : paraître « naturel » et savoir doser

Une fois les deux premiers critères on-site en place – et bien pensés –  le critère de popularité sera celui qui pourrait bien, « off-site », faire toute la différence. Première règle : cherchez à adopter un profil de liens « naturel ». Ne tombez pas dans le piège de la sur-optimisation, car les moteurs de recherche auront tôt fait de détecter une stratégie un accroissement « suspect » du nombre de liens. Et risqueraient de vous déclasser… La typologie des sites, la diversité des ancres des liens et le rythme de croissance de vos backlinks sont donc essentiels.

Soigner son e-reputation

Comment éviter de voir ternir votre e-reputation ? Pour Kévin, aussi sollicité en tant que « nettoyeur d’e-reputation », l’approche à conseiller est préventive :

  • « prenez soin de vos clients« . Si ce n’est certes pas une garantie à 100%, le service client reste une condition sine qua non pour ne pas être traîné dans la boue…
  •  faîtes de la veille sur votre marque et évitez les stratégies court-termistes : veillez à construire votre e-reputation.

Automatisations : la boîte à outils de @512banque

Parmi les outils qui peuvent faire gagner du temps pour travailler le référencement naturel d’un site, Kévin a notamment évoqué :

  • l’approche « content spining« , par exemple adaptée pour personnaliser des fiches produit, dupliquées sur de nombreux sites,
  • l’offre de http://seohackers.org/
  • iMacros
  • Scrapebox
  • Xrumer
  • Sick Submitter

A l’issue de la conférence un tirage au sort a désigné le gagnant du livre offert par les éditions Eyrolles, « Réussir son référencement Web » d’Olivier Andrieu. La deuxième partie de la soirée a alors démarré : networking et « prolongations » sur les thématiques SEO, autour du buffet proposé par Savoie Saveurs.

Merci aux quelque 70 participants d’avoir participé à cette soirée, ainsi qu’aux partenaires de Chambé-Carnet : Codeur.com, les éditions Eyrolles et Savoie Saveurs. Merci également à la ZA de Côte Rousse à Chambéry de nous avoir accueillis.

+ Bonus

Vous n’avez pas pu assister à la soirée ? Vous souhaitez revoir certaines parties de la conférence ? Voici pour vous :

Méthodes « avancées » de référencement naturel (conférence, février 2012)

Si vous vous êtes déjà intéressé à la meilleure manière de faire figurer un site web en bonne position dans les résultats des moteurs de recherche, vous savez que le référencement est un sujet incontournable. Internet est un nouveau « réservoir » d’audience pour donner de la visibilité à son entreprise, ses produits ou ses services.

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